J'aime être traitée comme une chienne

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il y a 7 ans

Mes lectures encore et toujours

Ce jour-là, je me présentai à la porte de l’appartement de mon Maître comme j’en avais reçu l’ordre. J’étais vêtue d’une mini-jupe noire, ainsi qu’un chemisier moulant, et des talons hauts, je ne portais pas de sous-vêtements sinon je serais punie. Je me mis à quatre pattes et frappa à la porte. Mon Maître vint m’ouvrir, il ne dit rien et m’accrocha directement un collier de chienne relié à une laisse qu’il tenait fermement. Il me tira d’un coup sec à l’intérieur de son appart, referma la porte et me traîna jusque dans son salon. Je le suivis rapidement à quatre pattes. Il tira sur ma laisse pour me placer sur le canapé, assise, et écarta mes jambes pour glisser sa main sur ma chatte déjà humide.

– Mais elle mouille la salope! Tu aimes ça, être traitée comme une chienne ?

Je baissai la tête et lui répondis :

– Oui Maître, j’aime ça.

Il me releva la tête d’un coup de laisse et me gifla « Bonne chienne! » Il m’arracha mon chemisier d’un coup, faisant éclater tous les boutons, et écarta encore plus mes cuisses, brutalement. Ma jupe remonta sur ma taille, et je fus entièrement exposée à mon Maître. Il accrocha l’extrémité de ma laisse à un anneau placé derrière le canapé, et m’attacha les chevilles au canapé de façon à ce que mes jambes soient bien écartées. Il attrapa une cravache qui était préparée sur la table du salon, près d’autres objets qui m’étaient destinés, et me frappa les seins de plusieurs coups secs. Je poussais un cri à chaque coup, et mes tétons pointaient de plus en plus.

Il descendit doucement et me donna quelques coups sur le ventre pour enfin arriver entre mes jambes. Il commença des coups légers sur mon clito, puis se plaça devant moi et me frappa ma chatte bien épilée plus fort. Je poussai des cris et des larmes commencent à couler. J’essayais de les retenir car je savais que ça l’excitait et qu’il irait plus fort. Trop tard, il vit mes larmes et me sourit, puis me donna trois coups secs encore plus forts. Je hurlai, mais il ne réagit pas et alla reposer sa cravache. Je vis mon Maître revenir avec des pinces à tétons, ce que j’adore. Il me les plaça sur les tétons et les relia par une petite chaîne. Il s’amusa à tirer dessus quelques coups, ce qui me fit gémir de douleur.

Il me plaça ensuite un bâillon, avec une boule en caoutchouc dans la bouche et la lanière accrochée derrière. Il partit dans la pièce d’à côté et me laissa dans cette position pendant cinq bonnes minutes. Assez de temps pour me faire mouiller, résultat de ma position et d’être attachée. Lorsqu’il revint, il tenait deux godes en main, un assez gros et long et un plus petit. Il s’approcha et constata que j’avais mouillé sur son canapé, il ramassa ma mouille avec ses doigts et descendit mon bâillon pour me présenter ses doigts.

– Lèche petite pute ! Tu salis, tu nettoies ! Compris ?

Je le regardai et lui répondis :

– Oui Maître.

Je commençai à sucer ses doigts et récupérai toute ma mouille, il me remit ensuite le bâillon et reprit ses godes.

– Comme tu as bien mouillé, je ne vais pas devoir préparer ton corps à mes godes ! dit-il en m’enfonçant le plus gros gode dans ma chatte sans prévenir.

Je poussai des gémissements étouffés, et il put lire le plaisir sur mon visage. Il me tira un peu pour me faire basculer sur le dos, et accéda ainsi à mon petit trou, qu’il caressa doucement pour me pénétrer avec deux doigts. Il fit des va-et-vient réguliers de ses doigts et son gode, et d’un coup retira ses doigts pour les remplacer par le deuxième gode. Il continua ses va-et-vient de plus en plus fort, puis arrêta, mais laissa les deux godes en moi. Il prit une espèce de bande en cuire, prolongée par deux lanières, qu’il plaça sur les deux godes, une lanière remontant entre mes seins et accrochée à l’anneau de ma laisse, et l’autre partant dans mon dos, accrochée à l’arrière du collier de chienne, dans ma nuque.

Cet objet servait à maintenir les deux godes bien enfoncés dans mon corps. A chacun de mes mouvement, les lanières se tiraient et j’étouffais un gémissement lorsque les godes s’enfonçaient encore. Il se recula et prit un appareil photo, pour enregistrer ma position qui lui plaisait fortement. Il retira mon bâillon et le lança au pied du canapé, puis se plaça debout au-dessus de moi, sa queue à la hauteur de ma bouche, je compris vite le message et ouvrit ma bouche en laissant dépasser un peu ma langue. Il approcha sa bite et la rentra dans ma bouche.

Je commençai par quelques va et vient pour ensuite la prendre en gorge profonde. Satisfait, il prit ma tête entre ses mains et s’enfonça au plus profond de ma gorge. Je gémis et des larmes coulèrent. Il me maintint comme ça pendant quelques minutes, et m’ordonna de bouger ma langue dans ma bouche pour lui donner encore plus de plaisir.

Après un moment qui me parut une éternité, il se retira et descendit du canapé. Il retira les liens qui m’attachaient les chevilles et détacha ma laisse. Il tira dessus et m’emmena sur sa table basse de salon. Il m’y allongea sur le dos, releva mes jambes et retira le gode dans ma chatte. Il décala la bande en cuir et me pénétra brutalement. Il me défonça longuement, je n’en pouvais plus et ne me contrôlait plus du tout, je n’arrêtais pas de gémir et crier. Il se mit à gifler mes seins et tirer sur la chaîne qui reliait les pinces.

Je gémis de plus belle, mes tétons étant très sensibles. Soudain, il se retira et me retourna vulgairement. J’étais à genoux penchée sur la table, mes seins et les pinces écrasés sur la table. Il m’attrapa les cheveux et tira dessus en me prenant en levrette. Je recevais des fessées régulièrement, il adorait voir mon cul tout rouge. Il m’insultait et me crachait dans le dos, je gémissais et criait. Enfin, il se retira et me jeta sur le sol, couchée sur le dos. Il m’ordonna de me lever et de me mettre à genoux devant lui. Ce que je fis et compris qu’il allait éjaculer. J’ouvris donc grand la bouche en le regardant. Il m’attrapa la tête et commença à me baiser la bouche. Je ne le suçais pas, il se branlait juste comme si ma bouche n’était qu’un trou à baiser. Il continua jusqu’à voir mes larmes couler et éjacula dans ma bouche, en laissant couler sur mes seins, mon ventre et au sol. Il me fit encore sucer pour nettoyer, puis me dit :

– Tu te rappelles ce que je t’ai dit ? Tu salis, tu nettoies, petite pute !

Je me mis donc à 4 pattes pour lécher le sol jusqu’à la dernière goutte. Il en profita pour me donner des fessées v i o l entes qui me faisaient gémir. Je récupérai ensuite le sperme sur mon corps, et une fois tout nettoyé, j’attendis à genoux en le regardant.

– Tu as été une bonne chienne aujourd’hui, tu mérites une récompense, cette nuit tu pourras dormir dans ma chambre !

Je le remerciai donc fortement et il me tira à la laisse jusqu’à sa chambre. Il me menotta les mains derrière le dos et laissa les pinces sur mes tétons. Il laissa le gode dans mon cul, et resserra les lanières pour l’enfoncer encore. Il accrocha la laisse au pied de son lit, et m’ordonna de m’allonger au sol pour dormir la, ainsi il pourrait m’utiliser en cas d’envie durant la nuit. Je lui obéis, le remerciai encore et ensuite m’endormit rapidement, aux pieds de mon Maître.

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